Association
Créé en 1997 à l’initiative de Mgr Henri Brincard pour assurer la conservation et la valorisation de l’important fonds manuscrit découvert à la cathédrale, le Centre de musique sacrée du Puy-en-Velay assure aujourd’hui 4 missions confiées par le diocèse du Puy qui se résument en 4 actions : valoriser, former, animer et chanter.
Qu’est-ce que le Centre de musique sacrée du Puy-en-Velay ?
Créé en 1997, sous l’impulsion du chef de choeur et musicien, Emmanuel Magat maître de chapelle de la cathédrale du Puy de 1999 à 2015 et directeur de la Maîtrise de la Cathédrale du Puy depuis 1999, le Centre de musique sacrée du Puy-en-Velay a pour objectif d’encourager la valorisation, la restitution, la diffusion et la création du patrimoine musical lié à la Cathédrale Notre Dame du Puy.
L’étude et la restitution d’un fonds de musique ancienne comprenant plus de 700 partitions inédites du XVIIIe siècles
La diffusion des oeuvres appartenant à ce fonds
L’organisation de colloques internationaux avec le concours de l’Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand
La formation diocésaine des acteurs musicaux de la liturgie
La création contemporaine est également au coeur des activités du Centre de musique sacrée. Plusieurs commandes, comme la Messe du Puy de M. Godard ou la Messe du Jubilé de N.-D. du Puy 2005 de Y. Lafargue lui ont été ainsi confiées par le diocèse du Puy.
En septembre 2008, le Centre de musique sacrée du Puy-en-Velay s’est restructuré et s’est vu confié par Mgr Brincard, évêque du Puy, les 4 missions suivantes :
Valoriser le patrimoine musical de la cathédrale et du diocèse
Former les chantres et organistes liturgiques du diocèse
Animer des liturgies diocésaines et une saison de concerts spirituels
Chanter, grâce aux choeurs d’adultes
La direction des choeurs a alors été confiée à Julien Courtois, maître de chapelle de la cathédrale du Puy depuis mai 2015.
Le Centre de musique sacrée inscrit ainsi son action dans la ligne directrice du Concile Vatican II qui souhaite que « Le trésor de la musique sacrée [soit] conservé et cultivé avec la plus grande sollicitude. » (Constitution sur la sainte liturgie, SC 114, 4 décembre 1963)